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Organisée par l’association Chifae, la 6e édition de ce congrès de renom offre une plateforme exceptionnelle qui réunira des experts nationaux et internationaux en oncologie génito-urinaire. Lesquels vont passer en revue les dernières avancées scientifiques, les nouvelles approches thérapeutiques, et les meilleures pratiques dans la prévention et la recherche sur le cancer, fait savoir un communiqué des initiateurs de cet événement.
Le programme scientifique de cette édition comprend des sessions animées par des sommités du domaine, couvrant un large éventail de sujets allant du cancer de la vessie au cancer du rein en passant par le cancer de la prostate. Les discussions aborderont les dernières avancées en pathologie, biomoléculaire, traitement préopératoire, nouvelles techniques chirurgicales, et algorithmes de traitement en 2024.
Outre cela, les participants auront rendez-vous avec des workshop interactifs, animés par des experts en la matière, qui mettront l'accent sur des sujets de grande actualité tels que l'andrologie, la sexualité dans les cancers GU, les nouvelles techniques de radiothérapie pour le cancer de la vessie, et de nouvelles cibles en oncopathologie génito-urinaire.
Se félicitant de ce rendez-vous qui constitue un tournant crucial dans la lutte contre les cancers génito-urinaire, le président de l’association Chifae, Pr Nawfel Mellas, a indiqué: « les aboutissants de ce congrès redéfiniront fondamentalement notre approche envers les cancers génito-urinaire et constitueront la voie pour l’amélioration des soins oncologiques dispensés dans les établissements de santé au Maroc ».
Pour la première fois au Maroc, « cette édition inaugurera un projet destiné à élaborer un guide de bonnes pratiques pour la prise en charge du cancer de la vessie », annonce Chifae. Ce projet mobilisera, selon la même source, les plus grandes sociétés savantes ainsi que des experts nationaux et internationaux en cancérologie et en urologie, en collaboration avec l'International Bladder Cancer Group (IBCG).
Il est à noter que quelque 35 millions de nouveaux cas de cancer devraient être détectés en 2050, soit 77% de plus qu’en 2022, selon le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l’agence de l’OMS spécialisée dans cette maladie. Au Maroc, l’incidence globale du cancer est de 116 pour 100.000 habitants. Chez les femmes, le cancer du sein reste le plus fréquent.
Le programme scientifique de cette édition comprend des sessions animées par des sommités du domaine, couvrant un large éventail de sujets allant du cancer de la vessie au cancer du rein en passant par le cancer de la prostate. Les discussions aborderont les dernières avancées en pathologie, biomoléculaire, traitement préopératoire, nouvelles techniques chirurgicales, et algorithmes de traitement en 2024.
Outre cela, les participants auront rendez-vous avec des workshop interactifs, animés par des experts en la matière, qui mettront l'accent sur des sujets de grande actualité tels que l'andrologie, la sexualité dans les cancers GU, les nouvelles techniques de radiothérapie pour le cancer de la vessie, et de nouvelles cibles en oncopathologie génito-urinaire.
Se félicitant de ce rendez-vous qui constitue un tournant crucial dans la lutte contre les cancers génito-urinaire, le président de l’association Chifae, Pr Nawfel Mellas, a indiqué: « les aboutissants de ce congrès redéfiniront fondamentalement notre approche envers les cancers génito-urinaire et constitueront la voie pour l’amélioration des soins oncologiques dispensés dans les établissements de santé au Maroc ».
Pour la première fois au Maroc, « cette édition inaugurera un projet destiné à élaborer un guide de bonnes pratiques pour la prise en charge du cancer de la vessie », annonce Chifae. Ce projet mobilisera, selon la même source, les plus grandes sociétés savantes ainsi que des experts nationaux et internationaux en cancérologie et en urologie, en collaboration avec l'International Bladder Cancer Group (IBCG).
Il est à noter que quelque 35 millions de nouveaux cas de cancer devraient être détectés en 2050, soit 77% de plus qu’en 2022, selon le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l’agence de l’OMS spécialisée dans cette maladie. Au Maroc, l’incidence globale du cancer est de 116 pour 100.000 habitants. Chez les femmes, le cancer du sein reste le plus fréquent.
